Voilà bientôt un mois, que les lampions se sont éteints sur la 34e édition de la plus prestigieuse des Compétitions Africaines, et qui à l’échelle mondiale, occupe une place de choix. Elle a consacré le pays organisateur au bout d’un suspens que seul le foot peut créer. La Côte d’Ivoire, peut bien s’enorgueillir d’avoir inscrit son nom sur les tablettes du football Africain au triple plan infrastructurel, organisationnel et de la performance. Ce qui arrive rarement et qui prouve, que le « Miracle Ivoirien », est une réalité. et pour reprendre la littérature populaire si abondante durant ces jours de foot rien à jeter, « DIEU EST IVOIRIEN ». A présent toutes ces émotions, toutes ces défaites, toutes ces victoires et toute cette grandiose fête, sont désormais veuves jusqu’à la prochaine CAN en Juillet- Aout 2025 au Maroc. Les acteurs majeurs que sont les footballeurs, ont déjà rejoint leurs clubs ou ils animent le jeu dans les différents championnats, en attendant le début des éliminatoires des Coupes, pour réenfiler la tunique de leur sélection nationale respective. Les nombreux supporters, téléspectateurs et auditeurs aussi, sans oublier les journalistes et techniciens, ces historiens de l’immédiat, qui étaient de plus cinq mille accrédités pour couvrir cette grande manifestation sportive, qui n’a enregistré aucune fausse note. Ce qui est tout à l’honneur de la Côte d’Ivoire, qui doit être fière d’avoir à sa tête, un Président Bâtisseur : Alassane Ouattara. Il n ya pas de doute, que chacun de ceux étaient présents à cette biennale du football Africain, voudrait bien y retourner. Ne serait-ce que pour déguster un plat d’Attieké, de Foufou, d’Igname ou d’Aloko. Moi en premier.
Amadou Diouldé Diallo