LDC : SACRE REAL DE MADRID

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On peut bien coller à ce club mythique l’assertion répandue selon laquelle tout ce qui réussit est du au fait qu’il ya « DIEU DEDANS ». et parlant de la géopolitique, on sait que le monde est bien dirigé à partir du bureau ovale de la Maison Blanche à Washington, la capitale fédérale des Etats-Unis. Or, une des appellations consacrées du Real, c’est la « Maison Blanche ». et le voilà qui gouverne la planète foot. Tout à son aise, même quand les oracles quand les oracles et l’environnement, ne lui prédisent pas la victoire. Comme mardi dernier contre Manchester City dans ses propres installations  après le nul de 3 buts partout à l’aller à Bernabeu. Le retour fut un voyage au bout du suspens, jusqu’au bout du bout, dans la dramatique insoutenable d’une journée féerique du football rien à jeter. L’ouverture du score par Rodrigo à la 12e mn, une avance maintenue aux forceps jusqu’à la fin du temps réglementaire. Puis vinrent les prolongations à l’issue desquelles, De bruyne, obtient l’égalisation, ramenant ainsi les pendules à l’heure. Une domination territoriale des Citizens et une résistance héroïque des Madrilènes retranchés fortement et numériquement devant la « Maison Blanche » afin qu’elle ne soit pas emportée par la tempête bleu. Non cette Maison repose sur des fondements solides. Elle tiendra même contre des tirs de missiles.et c’est plutôt le Réal à l’épreuve fatidique des tirs au but qui va prendre le meilleur et se qualifier pour les demi-finales. Une de plus dans sa longue et riche carrière. L’adversaire a pour nom, le Bayern de Munich , une des forces décuplées du monstre germanique à la fin de ce mois d’avril. En attendant le Réal de Madrid, prend un repos mérité du guerrier invincible prêt à marcher sur l’Europe pour arracher un autre titre de Champion du Vieux Continent. Ainsi Manchester City de Pep Guardiola, ne se succèdera pas  à lui-même par la faute justement de cet increvable Réal de Madrid. Oui la télécommande qui gouverne le monde, se trouve toujours à la « maison Blanche ». Pour longtemps encore avec  un football sous toutes ses facettes et toutes les épithètes : charmant, flamboyant, angélique, fabuleux, que sais-je encore.car, avec le Real de Madrid, on épuiserait tout le vocabulaire de Montesquieu, Skeaspeare, Cervantes  et Goethe.

Amadou Diouldé Diallo